La cause du problème est les autorités qui n’agissent pas, mais qui réagissent trop tard !

La vérité est simple, les autorités se croisent les doigts que rien n’arrive, mais se croisent les bras en ne faisant rien de valable pour améliorer la situation qui devient de plus en plus dangereuse à Cartagena. Je suis Canadien et je sais parfaitement ce que nous désirons en vacances, mais les Colombiens ne savent rien et n’écoutent jamais le point de vue des autres… car leur éducation a sa base sur « je connais tout » sans jamais expérimenter de nouvelle chose.

 

 

 

De plus, comme la ville est un patrimoine de l’Unesco, alors elle devrait réagir rapidement car une plaine vient d’être formulé par l’Unesco pour manquement à leurs critères… et que l’UNESCO est « profondémment décu » de voir que rien n’a été fait pour satisfaire à leurs recommandations culturelles. Encore une fois, nous voyons l’inaction, le manque d’engagement et de responsabilité des dirigeants de cette ville. http://whc.unesco.org/en/decisions/1727


Finalement, une enquête a été effectuée pour compter combien de policiers routiers la ville a besoin pour garantir un bon contrôle. La ville a besoin de 357 policiers de routes et actuellement le nombre est de 65… http://www.eluniversal.com.co/v2/cartagena/editorial/el-datt-¿inviable De plus, aucun policiers nationaux ne sont utilisés pour aider au trafic sauf quand le président vient en ville… et ainsi les utiliser sans intelligence, une vraie comédie de les voir.

 

Les Canadiens reviennent à Cartagena

 


Claude Lasanté