Decameron Baru - Informations aux Canadiens

3 décembre 2010. Après plus de 16 mois d'information envoyer aux Canadiens concernant l'hôtel Decameron Baru et plusieurs heures passées pour obtenir des faits sur la façon de prendre soin des clients venant du Canada avec l'espoir de les fidéliser et de multiplier le nombre pour les années à venir... je suis désolé de vous admettre que j'ai échoué avec eux afin de leur faire prendre conscience de l'importance d'agir ensemble pour solutionner les problèmes que les Canadiens pourraient vivre une fois à Baru et si par le passé, les vols en provenance du Canada ont été annulés plusieurs fois, alors il existe une maxime importante : Si vous voulez changer quelque chose dans la vie, vous devez absolument changez quelque chose dans la vie...

 

Ainsi, nous ne serons pas à Baru et nous n'irons pas à l'aéroport vous accueillir ou vous remettre un dépliant d'information... nous conservons notre première intention qui est : d'être avec les gens qui désirent être avec nous et ainsi privilégier les relations agréables. Nous sommes des personnes totalement libres avec des valeurs simples et sans détours.

 

 

L'isolement n'est pas une solution pour satisfaire les clients

En vivant ici, en étant aller 2 fois à l'hôtel et en recevant des milliers de demandes des gens, cela n'a pas suffit pour représenter gratuitement les intérêts des Canadiens, d'offrir gratuitement de mon temps pour promouvoir l'hôtel aux gens Nord-américains, de répondre immédiatement aux nombreux défis de communication entre l'hôtel et ses clients du Québec et finalement de m'assurer que les Canadiens ne se font pas abuser, harceler et frauder comme par le passé avec certains représentants arrangés avec des opérateurs ou des vendeurs, alors j'espère que vous passerez de belles vacances à Baru, et ne jamais vivre ce que les Italiens ont vécu par manque de compréhension des relations et d'isolement des employés de bureau qui sont fermés à toutes nouvelles cultures ainsi qu'une absence de vision de la direction. En vérité, les Italiens ont annulé leurs vols nolisés pour Cartagena-Baru... et ne reviennent plus !

 

 

 

 

Quels sont les problèmes actuels à Baru ?

Entre ma première visite en juin 2010 et celle d'aujourd'hui au début de décembre 2010, des promesses furent faites de la part de la direction au sujet de la route, de service à la clientèle, tour de ville, etc. mais la direction de l'hôtel ne s'intéresse pas réellement aux demandes des Canadiens et n'a pas accompli ses promesses. Cette habitude de parler sans action est légendaire aux Colombiens :

 

1. Le transport de Cartagena à Baru est affreux, long et très désagréable : Je me suis offert gratuitement pour passer le temps avec les Canadiens en autobus afin de partager des informations et ainsi passer le temps avec plus d'intérêt dans une ambiance d'humour et de sérieux... mais cela n'est pas important pour la direction malgré leur promesse que la route et le pont seraient terminés pour décembre 2010.

 

2. La communication en français est inexistante et celle en anglais très limitée : Je me suis offert gratuitement pour passer 2 jours par semaine à être le représentant des Canadiens (comme les Italiens avaient eu) et écouter, répondre et agir pour dépasser les attentes des Canadiens... mais cela n'est pas important pour la direction à comprendre ses clients et ainsi les laisser avec leurs problèmes causés par l'hôtel.

 

3. Aucun tour de ville à Cartagena en français : Je me suis offert gratuitement pour accompagner les Canadiens à Cartagena afin de partager des informations sur la ville dans un climat de tranquillité et de sécurité... mais cela n'est pas important pour la direction d'offrir un service dans la langue de ses clients nombreux.

 

4. Aucune navette en bateau de Baru-Cartagena-Baru : Je me suis offert gratuitement à organiser des tours de ville en bateau afin de ne pas à utiliser le long et pénible transport par autobus et j'avais aussi un gros bateau pirate à notre disposition. Plusieurs propriétaires de bateaux rapides également qui m'ont affirmé qu'ils ont toujours eu de la difficulté à bien s'entendre avec le Decameron à ce sujet... mais cela n'est pas important pour la direction pour sauver du temps aux touristes et voir des paysages magnifiques. Gardons-les à l'hôtel et qu'ils n'aillent pas dépenser quelques dollars avec les marchands de la ville mais avec nous semble être leur dicton !

 

5. Les nouveaux problèmes observés aujourd'hui :

- Le transport est pire et j'ai eu réellement peur à prendre le traversier. Des petites embarcations venaient frapper le ferry pour le diriger... avec des autobus sur le ferry, ça faisait peur. La sortie de l'autobus du ferry est selon les coutumes d'insécurité des gens d'ici...

- Le trajet de l'aéroport nous a pris 2h00 en autobus qui n'a pas de toilette.

- La route sur Baru est dans un état lamentable et plein de trous.

- La plage est pire qu'en juin 2010 avec beaucoup de pierres et un manque de sable.

- Un fatigant de liveguard utilise son sifflet au coucher du soleil pour faire sortir les gens de la plage où il y a peu de vague et avec des limites installées. Je n'ai jamais compris la raison et en plus, à Santa Marta on peut se baigner jusqu'à minuit.

- Le buffet du matin et du midi est vraiment petit et sans trop de variété, je m'imagine les Canadiens habitués avec les buffets chinois au Canada.

- Une forte odeur des eaux traitées se dégage sur le chemin et terrain arrière, et une personne m'a mentionné que ces eaux sont utilisées pour les plantes...

- La musique de jour est uniquement intéressante (boum boum, boum) pour les jeunes de 15 à 18 ans car le département des activités n'est pas conscients que l'âge des clients se situe autour de 50 ans et veulent une certaine tranquillité.

- Notre douche n'avait pas d'eau chaude.

- La construction arrière n'était pas encore terminée ainsi qu'un restaurant japonais qui ouvrira le 5 décembre.

 

 

Les conséquences possibles

Par conséquent, l'isolement des employés de bureau et le manque de vision de la direction du Decameron à ne pas travailler ensemble vers le même but qui est de fidéliser et multiplier le nombre de clients Canadiens à venir à Baru apportera assurément des résultats à moyen (printemps 2011) et long termes (décembre 2011 et plus tard). Si j'ai frappé dans le mille avec la construction l'année dernière, est-ce que je frapperai encore dans le mille cette fois-ci ?

 

Voici le document intégrale en français que nous avons remis au gérant (en espagnol) et qui est demeuré sans réponse et surtout sans intérêt de sa part...

 

 

 

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Claude Lasanté